Portrait Grâce Kelly et le Prince Rainier
Remise d’une œuvre en gribouillisme de Grâce Kelly et du Prince Rainier à la princesse Caroline de Monaco dans le cadre du 50eme anniversaire du 17eme rgp de Montauban. 👑🎨
Remise d’une œuvre en gribouillisme de Grâce Kelly et du Prince Rainier à la princesse Caroline de Monaco dans le cadre du 50eme anniversaire du 17eme rgp de Montauban. 👑🎨
Patrice Murciano, artiste montpelliérain autodidacte, vous invite à participer à ses formations sous forme de cours en semaine ou Master Class les weekends, où il partage ses techniques artistiques uniques. Ses cours sont ouverts à tous, débutants comme confirmés, à partir de 10 ans. Vous y apprendrez à dessiner, peindre et sculpter des portraits avec des méthodes variées : dessin au crayon, pastel, peinture acrylique, fusain, et sculpture en argile, sans oublier son style caractéristique, le « griboullisme ».
Débutants, passionnés, professionnels… Les cours de Patrice Murciano s’adressent à un large public à partir de 10 ans.
Les sessions ont lieu entre octobre 2024 et juin 2025, sur une journée ou un week-end, avec des groupes restreints pour garantir une expérience immersive et personnalisée.
Ces Master Class sont l’occasion idéale d’explorer votre créativité, encadré par un artiste de renom.
Les cours et Masters Class ont lieu à St Jean de Védas dans un atelier calme entouré de verdure style Mas en pierre.
L’artiste contemporain Patrice Murciano, connu pour ses œuvres audacieuses et hautes en couleur, expose actuellement à la galerie « Secrets d’artistes » à Honfleur. L’exposition, ouverte au public tous les jours de 10h à 19h, présente une collection vibrante et innovante que Murciano décrit comme du « courbisme », une approche artistique qui rend hommage au cubisme tout en déformant et en exagérant les proportions des formes.
Les visiteurs pourront admirer des sujets divers, allant de figures iconiques de la pop culture telles que Catwoman et Batman, à des personnages mythologiques comme le Minotaure. L’artiste revisite également des classiques de l’art, dont la célèbre Jeune Fille à la Perle de Vermeer. Chaque œuvre est marquée par le style distinctif de Murciano, intégrant son fameux « gribouillisme », un ensemble de lignes et de gribouillages qui apportent une touche de dynamisme et de modernité à ses compositions.
L’exposition est une invitation à un voyage visuel riche en couleurs et en créativité, où chaque tableau raconte une histoire à travers des formes déconstruites et des sujets réinventés. C’est une occasion unique de découvrir l’univers artistique de Murciano, où l’audace et l’originalité sont au rendez-vous.
La galerie « Secrets d’artistes », située au 6 rue des Capucins, 14600 Honfleur, vous accueille avec plaisir pour cette plongée immersive dans l’art contemporain. Pour toute information supplémentaire, vous pouvez contacter la galerie au 0660771327.
Exposition permanente à partir du 1er juin 2024.
L’ artiste peintre montpelliérain, Patrice MURCIANO, vous convie à une soirée d’exception au profit de la fondation “Nelson Mandela Children’s Fund”.
En participant à cette soirée d’exception, vous soutenez activement la fondation “Nelson Mandela Children’s Fund” qui œuvre pour le bien-être des enfants défavorisés et promeut l’éducation.
Informations pratiques :
L’entrée est libre mais les places sont limitées. Restez informé(e) en consultant régulièrement notre site web et en suivant Patrice MURCIANO sur les réseaux sociaux.
Pour toute demande de presse ou de renseignements supplémentaires, veuillez contacter Hélène Letang, responsable des relations publiques, à l’adresse relations@patricemurciano.art.
Ne manquez pas cette soirée exceptionnelle alliant art, mode et philanthropie.
Soyez prêt(e) à vivre une expérience artistique inoubliable !
À propos de Patrice MURCIANO :
Patrice MURCIANO est un artiste peintre montpelliérain de renommée internationale. Son style unique et vibrant, combinant la peinture à l’huile, l’acrylique et les techniques mixtes, a conquis de nombreux amateurs d’art à travers le monde. Ses œuvres sont exposées dans des galeries prestigieuses et font partie de collections privées et publiques.
A cette occasion Patrice MURCIANO met aux enchères une toile originale de Nelson MANDELA.
Aussi loin que puisse remonter ma mémoire, je me souviens avoir toujours dessiné, peint, créé …
Depuis le visage de cette petite fille de mon âge, lorsque je n’avais que 4 ans, dont je maquillais les immenses yeux verts dans la cour de l’école, avec ces bâtons gras qu’on utilise pour le carnaval, jusqu’aux premiers nus féminins esquissés sur l’envers des rouleaux de papiers peints du chantier de notre maison, à Pignan dans l’Hérault – des dessins que je croquais avec le maquillage de ma mère, donnant à ces créations une texture, une odeur, si féminine.
Je suis né avec cette envie de peindre, ce besoin de dessiner, d’immortaliser ce qui se présentait à mes yeux ou à mon esprit.
Je ne pense pas que l’on « devienne » peintre, musicien, que l’on embrasse une quelconque forme d’art, je crois que l’on naît artiste.
Même si parfois, il nous faut du temps pour le découvrir. J’ai réussi à écouter mon Cœur très tôt, j’ai commencé de façon précoce à admirer ces paysages, ces visages, ces corps, et à m’en inspirer.
J’ai ainsi pris conscience de l’incroyable chance que l’on a d’être né, d’exister, et d’avoir reçu le plus beau des cadeaux : un corps -quel qu’il soit, des yeux pour voir et admirer, un cerveau pour analyser, interpréter, retranscrire les visions de l’âme, un cœur pour jouir de tout cela et des mains pour créer toutes ces œuvres.
Merci, la vie.
Même si je réalise mon art depuis plus de 45 ans, je suis loin d’avoir toujours pu en vivre, et cela ne fait que 10 ans que j’ai décidé d’en faire mon unique « métier »… même si le terme « métier » reste pour moi inexact, tant l’art est à mes yeux et à mon Cœur davantage une vocation, une passion qui brûle en moi et nourrit chaque jour mon esprit.
Si j’ai peint toutes ces années, c’était pour emplir mon âme mais aussi pour apprendre, pour améliorer ma technique, car étant entièrement autodidacte, je n’ai jamais pris une seule leçon de dessin ou de peinture, ni même était conseillé en la matière.
Vers mes 12 ans, j’ai demandé à mes parents un chevalet pour Noël, ainsi que des cartons toilés, et de la peinture à l’huile, car j’avais lu que les grands maîtres peignaient à l’huile… je voulais apprendre, je voulais comprendre.
Pendant que mes camarades jouaient à des jeux de nos âges, je partais dans ma garrigue, ce havre de paix tout près de notre maison d’enfance dans laquelle je me réfugiais souvent, seul.
J’empruntais à la bibliothèque du collège tous les livres d’art que je pouvais trouver. Je les dévorais durant des heures, assis, là au pied du grand chêne, sous le chant des cigales.
Rembrandt, de La Tour, Van Gogh, Vermeer étaient alors mes meilleurs amis.
Je me demandais sans cesse: mais comment font-ils ? Quel est ce génie, cette lumière qui les habite ?
Je reproduisais les tableaux de peintres célèbres au fusain sur mon carnet à croquis, ou parfois à l’huile sur mes cartons entoilés.
Je découvrais la magie de la vie, de l’anatomie, les portraits, et la force de la lumière, cette lumière presque divine.
Chaque nouvelle œuvre était un miracle à mes yeux d’enfant. Mais qui étaient ces maîtres ? Des demi-dieux, des extraterrestres ? Mon cerveau ne comprenait pas, je m’intéressais à leurs vies, plus précisément à celle de Vincent Van Gogh, dont les autoportraits me perturbaient, je voulais savoir qui se cachait derrière ces couleurs, derrière ce jaune chaud qui était devenu ma couleur préférée et qui ne m’a plus jamais quitté. A mon jeune âge je ne comprenais pas tout de la vie tourmentée qui fût la sienne, mais je me m’interrogeais : est-ce cela, être artiste peintre ? Doit-on créer toute sa vie dans la pauvreté, dans la souffrance et la folie ? Ces pensées me conféraient un immense sentiment de tristesse.
Comment peindre la vie avec cette même force, cette énergie comme si chaque cellule, chaque atome en nous-même ne vibrait que pour l’art ? Je ressentais une telle flamme en moi, mais devait-elle me consumer, ronger mon être ? Je parlais parfois à Vincent en peignant, je lui posais des questions :
« Comment aurais-tu peint ce portrait ? Conseille-moi… ».
« Regarde Vincent cette lumière dans ma garrigue, écoute son vent, ses cigales, entends ses couleurs qui murmurent à l’oreille de mes pinceaux. «
« Tu peins vite Vincent, très vite, tu veux immortaliser l’instant présent comme le ferait un appareil photo, raconte-moi … »
J’apprends alors à dessiner et à peindre rapidement, de plus en plus rapidement. Je ne veux pas créer dans l’analyse, avec ego, non, je veux apprendre à peindre avec mon âme, d’un trait, sans réfléchir, spontanément. Encrer, graver au plus profond de ma conscience toutes ces choses pour qu’elles ne disparaissent jamais, car lorsque mon corps terrestre mourra, je le sais, mon âme restera celle d’un artiste, pour l’éternité.
Je peins, j’avance ainsi jusqu’à mes 16 ans, ma technique prend forme, je n’ai pas réellement de style personnel mais le geste est là. Je montre mon travail pour la première fois à d’autres que ma famille et amis proches, au couple de personnes âgées qui tient la boutique du quartier des Beaux-Arts, où je me fournissais régulièrement en matériel.
Je leur présente un portrait de Jules César réalisé à l’huile dans une technique clair-obscur (l’œuvre est encore visible à la mairie de Pignan aujourd’hui) : ils n’en reviennent pas, et ne croient pas que c’est moi qui l’ai réalisé. Je leur montre alors des photographies du reste de mon travail dans le même esprit.
Ils me parlent d’une exposition montpelliéraine annuelle organisée par « Arts et Lettres de France », mais je n’ai alors jamais exposé mon travail… j’accepte même si cela ne m’intéresse pas vraiment, car je ne peins pas pour cela. Mais leurs yeux brillent tellement à la vue de mes oeuvres, mes parents sont si fiers que j’accepte… Je remporte ce jour-là la médaille d’or du jeune espoir national.
Ma mère est folle de joie… et moi, je m’en fous totalement. Ce sera d’ailleurs le seul et unique « concours » auquel je participerai car l’art est tout sauf une compétition à mes yeux.
Je continue d’avancer seul, les femmes me fascinent de plus en plus, je les photographie, les peins continuellement, elles deviennent ma principale source d’inspiration au point de vouloir être l’une d’entre elles.
Je n’aime pas « l’avatar » (ce nom que je donne à notre corps, à notre ego) que j’ai dans cette vie, ce corps qu’on m’a imposé, que je trouve ingrat à cause de sa petite taille.
Il serait si beau de pouvoir avoir le choix de cet « avatar » avant de naître !
C’est pour cela que je peins ces femmes, au-delà du fait de rendre hommage aux beautés féminines que la vie me donne la joie et la chance de croiser, je peins cette FEMME qui est en moi, je veux réaliser l’autoportrait de mon âme.
Même si l’on dit que l’âme n’a pas de genre, la mienne est forcément féminine.
En 1996 je déstructure cette femme dans un style haut en couleur que je nomme « Courbisme », dans un clin d’œil au cubisme de Picasso, un autre de mes maîtres. J’accentue, déforme cet autoportrait imaginaire au point de laisser paraitre une femme aux yeux immenses et clairs (qui ressemble à cette petite fille de 4 ans que je maquillais dans la cour d’école), dotée d’une bouche pulpeuse, charnue comme un fruit trop mûr. Les courbes du corps qui m’ont inspiré le mot « Courbisme » se tracent sur la toile dans un ballet harmonieux de lignes et de couleurs, elles sont la vie, deviennent le corps que je m’imagine.
Je créé des œuvres dans cette même veine jusqu’en 2002, et je les expose en 1998 dans une galerie de New-York, ville pleine d’énergie dans laquelle je vis pendant 6 mois.
Mais ce style, bien que très abouti et très personnel, ne me permet pas de m’en sortir financièrement.
Je parle alors à Vincent : « Que dois-je faire ? Où dois-je aller ? Guide mes pas, éclaire le chemin sur la toile !»
Une voix résonne dans ma tête, et me répond d’écouter mon cœur : « va où personne n’est allé, sois unique, sois précurseur, comme je l’ai été ».
Je m’exerce alors à beaucoup de techniques différentes : aquarelle, acrylique, pastel, encre de chine, bombe de peinture, dripping, collage, peinture numérique… et bien d’autres expériences quotidiennes dans mon nouvel atelier que je nomme LEA –un acronyme pour Laboratoire d’Expériences Artistiques.
«et si je mixais cet autre art que je pratique en parallèle de la peinture, la photographie, à la peinture colorée de mon Courbisme ? »… Mais comment m’y prendre ? Je découvre alors cet autre maître qu’est Andy Warhol, qui colorisait des photographies de célébrités avec une technique qui lui est propre, son célèbre « POP ART ».
Cela me plait, mais comment m’en inspirer en 2012 avec les techniques modernes qui s’offrent à moi ? Je peins le portrait de David Bowie en numérique, avec un logiciel du nom de Corel Painter, qui m’offre par magie toute une palette d’outils, de pinceaux, mais aussi de textures, de couleurs … Je retrouve ainsi en « virtuel » tout ce que j’avais expérimenté dans mes diverses recherches.
Je ressens une telle joie, un tel bonheur que mon cœur entre en ébullition : « regarde Vincent, je peins vite, très vite… ton âme habite mon corps, mon bras, je suis en transe … »
J’imprime ce portrait de David Bowie en noir et blanc sur une toile, mais je trouve qu’il lui manque de la vie, de la texture, du relief … La couleur du Courbisme croise par accident (même si je nie l’accident), la toile N&B, l’acrylique très diluée laisse apparaitre les ombres et les lumières en même temps que la toile imprimée.
C’est fantastique, je retrouve alors la technique du POP ART d’Andy, mon Dieu, qu’ai-je donc découvert dans LEA ? Je peaufine cette technique, j’y incorpore mon « gribouillisme » une autre de mes techniques qui consiste à dessiner un sujet avec des lignes continues qui se croisent et se multiplient, au stylo noir. J’ajoute ensuite un peu de dripping (technique apprise en étudiant le célèbre artiste américain Jackson Pollock) et c’est avec ce premier tableau que nait le style que je nomme « NEW POP ».
Et je ne peux m’empêcher de penser à toi Vincent … quel aurait été ton destin si tu avais pu partager ton art, ton talent aux yeux du monde avec Facebook ou Instagram ? Les choses auraient été différentes et tu n’aurais sûrement pas été le Vincent que l’on connaît, aussi merci pour ce que tu nous as apporté, c’est un cadeau du divin, tu as changé la vie de certaines personnes, dont la mienne, tout comme ont pu le faire le Christ, Gandhi, Mandela, Mozart, Martin Luther-King, Mère Thérésa … »
Plus j’avançais dans le NEW POP plus le monde s’ouvrait à moi : j’ai eu l’immense chance de rencontrer de belles personnes, de belles âmes, célèbres ou pas, et de réaliser des œuvres qui me tiennent à cœur. Qui aurait pu croire qu’un jour je sois sollicité par Dieter Wiesner, qui fut le manager de Michael Jackson de 1996 jusqu’à son décès ? Un appel qui aboutira à la réalisation de 7 œuvres sur Michael pour un beau projet, tandis que Dieter acceptera d’écrire la préface de mon nouveau livre « NEW POP 10ème anniversaire » avec des mots qui me font toujours pleurer, à chaque lecture. Qui aurait pu croire que mon travail soit projeté sur le Burj Khalifa à Dubaï ou à Time Square à New York, mon travail à moi, le petit « pignanais » de la garrigue ?
La vie nous offre son lot de surprises, de miracles, tout est possible en bien, autant qu’en mal, malheureusement.
Si vous voulez devenir artiste peintre, choisissez de nourrir le loup blanc plutôt que le loup noir, comme l’explique la parabole amérindienne, et de belles choses s’offriront à vous comment elles se sont offertes à moi.
Beaucoup de projets m’animent encore aujourd’hui, comme écrire et réaliser un film autobiographique, onirique, sur lequel je travaille depuis de nombreuses années (et dont le titre sera « A l’ombre des couleurs »), mais je souhaite aussi me consacrer à d’autres formes d’art, comme la sculpture que je pratique depuis quelques années, ou le stylisme en créant ma propre marque éco-responsable, car la protection de la planète est un sujet qui me tient particulièrement à cœur.
Pour conclure et répondre au titre de cet article, « Comment et pourquoi devenir artiste peintre », je dirais qu’il suffit de le vouloir, tout simplement, d’y croire pleinement, d’y consacrer sa vie, son temps, son âme quoi qu’il arrive, et ce, malgré les périodes difficiles de misère qui peuvent advenir, les doutes, ou les souffrances… Rien, rien n’est plus fort que ce bonheur qu’apporte la création, car on se sent à cet instant comme le divin peignant la vie dans la noirceur du néant.
Si vous aimez cet art, vivez-le vraiment, et vous vibrerez au travers de cette expérience unique.
Un grand merci à Netflix et à la série Selling Sunset de m’avoir sollicité pour la déco d’un épisode de la saison 3.
Le pitch : Pour cette équipe d’agents immobiliers du groupe Oppenheim, qui vendent une vie de luxe à de riches clients de Los Angeles, c’est le réseau qui fait (et défait) tout !
Cette création est un modèle unique peint à la main*
Nous vous donnons aujourd’hui la possibilité de la gagner grâce à ce jeu concours.
Pour cela, il vous suffit d’acheter un ou plusieurs tickets au tarif unitaire de 5,00 euros.
Un tirage au sort aura lieu le samedi 8 mai 2021 à 20h : Galerie Patrice Murciano 6 rue Joseph Cugnot 34430 Saint Jean de Vedas. Il sera diffusé en direct sur les réseaux sociaux de l’artiste (Instagram et Facebook)
Règlement du jeu concours déposé chez huissier de justice : cliquez ici
*livré avec certificat d’authenticité
Ce concours est terminé ! Le tirage au sort à été effectué.
Format collection classique : 50x50cm – 70x70cm
Imprimés en numérique haute définition surbois MDF de 5 cm d’épaisseur, dans mon atelier en France. De plus, un système d’accroche aluminium est fixé au verso de l’œuvre afin de la fixer facilement et rapidement à votre mur. Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Les tirages sur bois MDF bénéficie d’un encadrement avec baquettes laquée noir ou blanche.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
-50% sur les posters 50x50cm
-50% sur les packs posters
-25% sur les posters 30x30cm
-10€ sur les cartes postales
-23% sur la reproduction d’aquarelle
-40% sur les toiles 50x50cm
-30% sur les toiles 80x80cm– Accès gratuit aux initiations artistiques (tous les samedis après midi, ateliers dessins et peintures animés par Patrice Murciano )
D’autres avantages s’ajouteront au fil de l’année !
Imprimés en numérique haute définition sur une toile coton tendu sur un châssis bois, dans mon atelier en France. De plus, un système d’accroche aluminium est fixé au verso de l’œuvre afin de la fixer facilement et rapidement à votre mur. Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Les tirages sur toile bénéficie de l’option d’encadrement : Baquette Baroque de 10cm (noire ou blanche) – Caisse Américaine de 5,5cm (En bois noire, en bois blanche, métal noir) ou baguette métal chrome fumé.
Encadrement baroque noir ou blanc au choix
Format : Œuvre de 20x20cm dans un cadre de 25x25cm – Tirage limité à 100 exemplaires !
Disponible uniquement avec la Marie-Louise et son encadrement baroque noir ou blanc.
Les P’tits Collector en 20x20cm sont imprimés sur du papier collection, en numérique haute définition dans mon atelier en France. Ce papier est de grande qualité en 200gr Luxury.
Livré avec un certificat d’authenticité, numéroté et signé par l’artiste.
Format collection classique : 50x50cm – 80x80cm – 100x100cm (sans encadrement)
Imprimés en numérique haute définition sur une toile coton tendu sur un châssis bois, dans mon atelier en France. De plus, un système d’accroche aluminium est fixé au verso de l’œuvre afin de la fixer facilement et rapidement à votre mur. Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Les tirages sur toile bénéficie de l’option d’encadrement : Baquette Baroque de 10cm (noire ou blanche) – Caisse Américaine de 5,5cm (En bois noire, en bois blanche, métal noir) ou baguette métal chromé.
Cette œuvre est ainsi reproduite sur un Plexiglas® de 5mm. De plus, un système d’accroche aluminium fixé au verso de l’œuvre permet une accroche facile sur vos murs. Imprimé dans mon atelier du Sud de la France.
Les tirages sur du Plexiglass (Verre Acrylique) bénéficie de l’option d’encadrement : Baquette Baroque de 10cm (noire ou blanche) – Caisse Américaine de 5,5cm (En bois noire, en bois blanche, métal noir, métal chromé). Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Imprimés en numérique haute définition sur un support alu de 3mm d’épaisseur, dans mon atelier en France. De plus, un système d’accroche aluminium est fixé au verso de l’œuvre afin de la fixer facilement et rapidement à votre mur. Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Les tirages sur du Dibond bénéficie de l’option d’encadrement : Baquette Baroque de 10cm (noire ou blanche) – Caisse Américaine de 5,5cm (En bois noire, en bois blanche, métal noir) Baguette métal chrome fumé
Format collection classique : 50x50cm – 70x70cm – 100x100cm (sans encadrement)
Imprimés en numérique haute définition sur un support alu de 3mm d’épaisseur, dans mon atelier en France. De plus, un système d’accroche aluminium est fixé au verso de l’œuvre afin de la fixer facilement et rapidement à votre mur. Pour finir, ce tirage est livré avec un certificat d’authenticité.
Les tirages sur du Dibond bénéficie de l’option d’encadrement : Baquette Baroque de 10cm (noire ou blanche) – Caisse Américaine de 5,5cm (En bois noire, en bois blanche, métal noir) – Baguette chrome fumé
Format : 40x40cm (sans encadrement) – Tirage limité à 200 exemplaires !
Les tirages sur papier collection en 40×40 cm sont imprimés sur du papier premium 250grs. Dans mon atelier dans le sud de la France. Ils sont disponibles uniquement au format 40x40cm afin de pouvoir vous livrer cette œuvre à plat.
En option, vous pouvez choisir votre encadrement de couleur noire avec un verre acrylique. Ainsi l’œuvre arrive terminée chez vous. Elle sera prête à accrocher sur le mur de votre salon ou la pièce que vous souhaitez.
Livré avec un certificat d’authenticité, numéroté et signé par l’artiste.